3h30 du matin. Je me suis endormi. Quelle honte ! Ma cible est surement partie depuis longtemps. J'enpoigne mes lunettes infrarouge et regarde en direction du palace Mc Malagan. Deux personnes de petites tailles dorment au première étage tandis qu'une ribanbelle d'adultes font la fête au rez-de-chaussé. Finalement il est toujours la. Tant mieux, j'aurais mon argent ce soir.
4h30. Cela fait deja cinq heures que je poirotte dans ma caravane dans le champ derrière la maison. Seul une barrière me sépare de l'immense jardin des Malagan. La fête se termine. Tant mieux je commence à m'assoupir de nouveau. Ma cible se dirige dans le jardin avec ses invités. Il souffle les bougies de l'immense gâteau d'anniversaire. Il est félicité. 50 ans, ça n'arrive pas tout les jours. C'est incroyable le nombre de cadeau qu'il a pu avoir. Malheureusement pour lui l n'aura pas le temps de les essayer.
5H12. Les invités sans vont enfin. J'enfile ma tenue monochrome noir par dessus un gilet par balle. J'aggraffe mon katana dans le dos dans son etui d'un noir glacial et sort de la caravane. Mon arme tranche sans aucun probleme la faible barrière de fer.
5h15. Quel magnifique jardin. Il n'y a pas a dire Monsieur Malagan mérite vraiment son titre d'ambasadeur impérial. Il fait froid malgrès ma tunique. Je tremble.
5h18. J'ai rejoins mon point d'attaque. une grand arbre à trente mètre de l'entrée de la maison. Mon objectif salut les retardataires. Sa femme est deja à l'intérieur cela m'arrange. Je n'aime pas tuer plus que prevu. Je m'assoit dos à l'arbre, le katana entre les dents. Dans quelques secondes il sera mort.
5h20. Il s'est assis sur un banc à quelques pas de moi. Il vient d'appeler sa femme. Je dois en finir maintenant. je n'ai pas evie de regarder ses deux tourteraux s'embrasser jusqu'à la fin de la nuit. Je sors de ma cachette et me rue sur lui. Il n'entend pas ma démarche. Sa tête tombe sur l'herbe franchement coupé. Une fontaine de sang jaillit de son cou tandis qu'il s'affaise de plus en plus sur le flanc du banc. je ramasse sa tête. Il est joyeux, pourtant il est bien mort.
5h22. Je suis retourné à la caravane la tête dans un sac hermetiquement fermé. Si je ne fais pas ça ma femme va encore me dire que je pue. Un cri reteti dans le jardin. Puis des sanglots. Pauvre femme, elle ne l'aura connu qu'une dizaine d'années. Je m'en vais raporter la tête à mon patron.