Trois heures quarantes cinq. La simulation de combat démarre. Shogun. Le nouveau jeu à base virtuel que j'ai acheté ce midi va enfin pouvoir montrer ces capacités.
Je places les capteurs holographiques sur mon visage. Branches le jeu sur le pc à nanopuces et appuye sur le menu démarrer. L'uniners de Shogun s'ouvre à moi. J'ai décidé d'incarné un ninja, armée d'un katana d'adamantite qu'un ami m'a envoie en avance.
Des milliers de joueurs jouent sur le même terrain. Je fais parti du clan de Shinohonu, l'Empire de l'Est. Les roupes de Ichigo se trouve juste en face du fleuve que transperce la carte en deux.
Les chefs, des PNJ vont bientot sonné le coup d'envoie. je suis en première ligne, parmis ceux qui vont se pllnger dans la furie du combat en premier.
Les trompettes tonnent le début du match. Les cris des combattants m'assourdissent tandis que les troupes se ruent en direction de l'adversaire. la poussière se décole du sol fictif. Le tonnerre retentit au dessus de nous. Une pluie fine et glacial nous ronge les nerfs.
Je suis la masse, inconscient de mes actions et de mes gestes. je suis l'armée et elle est moi. Une volée de flèche vient s'abattre sur nous. Les mages ont édifié un champ de confinement glbal, devient les flèches à l'extérieur de notre course. La cavalerie passe à notre flanc. les bruits des sabots sur le sol fait trembler mon coeur. Les premiers combats font rage sur le fleuve.
La cavalerie transpercent les rangs d'Ichigo. J'arrive enfin au niveau du fleuve. je dégaine mon arme, court dans l'eau et pourfend un premier ennemi. Son corps flasque m'éclabousse. Son sang s'engouffre dans ma bouche.
Un couteau se plante dans mes côtes. je ressens la froideur de la lame au plus profond de mon être. Mes tripes se fendent et mon estomac se vide. je regarde sur le côté, aggripe mon arme et tranche la tête du soldat. Un pouvoir de feu sacré passe au dessus de ma tête pou finir sa course loin devant moi.
je tombe sur les genoux. je m'aide de mon épée pour me relever. Je cherche un moine, lui seul peut soigner ses blessures. Une fleche arrive dans mon omoplate droit. je tombe de noveau à terre.
les combats s'atténuent. La rage diminue tandis que le nombre des victimes s'accentuent. Les mages tombent d'epuisement, La cavalerie bat en retraite. les soldats tombent un à un....
Je ressemble toute ma force mental et parvient à me lever. Je brandis devant moi mon katana, parre un coup de lance, la devie et perfore.
les joueurs provenant d'autre pays sont arrivés au cours de la bataille l'alimentant sans cesse en nouveaux combattants. Un pretre me soigne. je me sens de nouveau en pleine forme physique, bien que mon esprit soit fatigué.
je me jette au coeur de la bataille, tranche jambes et bras et evite de justesse des couteaux de lancer. Une aura m'envahit le corps. Un guerrier de haut niveau doit etre proche de moi. Je me retourne. Un paladin revetue d'une armure de plate blanche et d'un gourdin se tient devant moi. Il s'agit d'un personnage unique régit par l'IA.
Il me sourit, tapote son gourdin de fer blanc sur ses épaulières et ecrase le crâne d'un assaillant. Le combat reprend de plus belle. Je sors mon deuxième katana et combat à deux mains. Je parre, bloque et tranche. Le sang impregne mes vetements.
Je cours droit sur la base adverse, la où se trouve le drapeau qui nous donnera la victoire. L'aura du paladin m'entoure toujours comme une couverture protectrice. Je découpe un garde de haut en bas et plante mon autre katana dans l'homme se trouvant derrière moi. Je bondis sur un cheval en garnison et part au galop aspergeant le sol du sang de mes victimes.
Un pieu vient se heurter à ma monture qui s'écrase sur ma jambe. La douleur est insoutenable. je regarde en arrière, je suis seul parmis mes ennemis.
je me relève d'une pirouette et abat mon arme sur la tête du piquier. Je roule à terre, evitant de peu un shuriken. Une lame ressort de mon épaule gauche. Mon arme tombe au sol suivi de mon sang. je n'ose pas tourner la tête. je ressens une pression puis voit mon bras tomber.
Je percute violemment le sol, poussé d'un violent coup de pied. Je ne ressens plus ma tête. Je ne suis plus de ce monde, mon souffle s'est arreté. J'etteins la console et reste allongé à regarder le plafond dans mon lit.